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Le Blog D'oxymoron

Le Blog D'oxymoron
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Le Blog D'oxymoron
10 avril 2007

Melodrame remit en chantier. Tout va changer,

Melodrame remit en chantier. Tout va changer, même le nom je crois. Je suis dans un état d'euphorie intense. J'ai réellement reussit à lui faire raconter une histoire à mon morceau, il vit et vehicule vraiment mes émotions. Ah... Si Tu savais comme je t'aime, si Tu pouvais entendre couler ces notes... Si Tu pouvais voir ce que j'ai fait pour Toi, à quel point tu m'as permis d'atteindre cet état et de créer cet enfant. C'est comme celui que je ne pourrais jamais avoir avec Toi, mais il est beau quand même. Tres beau. Il n'est pas triste, juste mélancolique, mais léger. Comme Toi. Il est là pour te dire que je T'aime...

J. Je suis désolé mais tu n'as eu que le brouillon, une ébauche tres imparfaite...

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5 avril 2007

Comme un prologue

   Les yeux fermés, la tête reposés, souriant, il l'écoutait raconter... Le téléphone plaqué contre l'oreil, il l'écoutait. Il écoutait sa voix comme il aurait écouté n'importe quel symphonie de Mozart ou n'importe quel solo d'Hendrix, comme si il y avait à l'interieur de celle ci quelque chose de magique, de captivant, comme si rien que sa voix suffisait à offrir des émotions. Il n'écoutait que ça, sa voix et le son qu'elle formait. Suave, delicate, presque envoutante. Elle sentait le tabac, legerement rauque et  cassé, terriblement sensuelle. C'était une de ces voix que l'on pourrait ecouter des heures. Calme, posée. Une voie du coeur, juste le bon ton pour vous faire vibrer...

   Il ecoutait sa voix, juste ça. Ce qu'elle pouvait dire, il s'en moquait alegrement. Elle devait encore parler de la grand mère d'en face qui promenait son chat en laisse, ou du bonhomme de l'arret de bus avec son nez de clown sur la figure.

   Non, ça il s'en foutait. Lui, ce qu'il voulait c'était simplement l'entendte prononcer ses mots, délicatement, articulant chaque syllabe. Puis il imaginait.

   Il l'imaginait couchée dans un grand lit à baldaquin. Le téléphone à l'oreil, les épaules dénudées, sa longue chevelure d'ébene carressant l'oreiller en satin et sa main gauche palpant les rideaux en dentelle. Il voulait apparaitre au beau milieu de la pièce, grimper sur le lit et lui effleurer la nuque de ses longs doigts avant de deposer ses lèvres sur les siennes et d'echanger avec elle un fougueux baiser.

  Oui, c'est ça, il était amoureux. Passionemant. Dans tout ses gestesn ses mots, ses joies et ses douleurs il l'aimait. Et il ne revait que d'une seule chose, c'était de la prendre dans ses bras et de l'embrasser afin de se partager avec elle.

-Hey.... tu m'écoute?
-hein? euh... oui
-bon alors où en étais-je?
-ton voisin et ses quatres femmes

Et elle recomençait à parler et lui à écouter.

Puis venait le moment de se quitter:
-Aurevoir, bonne nuit
-Oui...
Et il n'arrivait jamais à combler sa phrase. Il aurait pu lui dire "je t'aime","je penserais fort à toi","tu vas hanter mes rêves et apaiser mes cauchemards" mais non. Il ne decrochait qu'un oui insignifiant, vide... Et elle racrochait. Il reposait sont téléphone et s'allongeait. Pas de baldaquin, pas d'oreiller en satin, pas d'encens, pas de voie suave, pas de presence. Non rien à part un lit vide de vie, Froid, Dur... Il fermait les yeux et pensait à elle... Son visage, ses cheveux, ses mains, son sourrire, son rire, sa voie... Il la rentendait lui parler de rien et il souriait. Le bonheur tenait à peu de chose, rien de concret, juste une impression comme ça, un instant qui passe et que tu attrape au vol, une petite émotion qui rentre par ton oreil et qui se saisit de tout ton corps, te fais vibrer et meure, t'abendonnant à tes souvenirs. Il s'endormait, joyeusement mélencolique.

  Elle réaparaissait en robe de soie, éblouissant, aveuglante. Elle survolait un lit de roses et avançait, faisait battre son coeur plus vite à chaque pas, à chaque mouvement qu'elle exquissait, à chaque soupir... Il la serrait dans ses bras fort pour ne pas la perdre, il était heureux. Il... était 6:30, le reveil qui sonne, le jour qui nous rattrappe.

  Encore tout embrumé par son doux rève, il revivait les moments les plus intenses. Ses lèvres, ses yeux, son regard tendre.

  Il engloutit son café, avala une demi baguette, pris son vélo, monta dans le train et ressortir sous le pluie, la fumée des pots d'échappement, les cris des mômes dans la rie et le vacarme des voitures et des autobus.

   Tout d'un coup le nuage lui parut beaucoup moins dense et il se cassa la figure au beau milieu de la réalité

25 mars 2007

j'abandonne

   Je relis cette conversation que nous venons d'avoir. Je me rememore celle d'hier et celles d'avant jusqu'à ce jour malsain ou je t'ai avoué. Je brasse tout ça dans ma tête, je cogite et je reflechis... longtemps! Puis je decide d'abandonner. J'abandonne l'idée de chercher à comprendre ce qui me gene la dedans. J'abandonne l'idée de voir à partir d'où ça debloque. J'abandonne l'idée de chercher pourquoi rien ne va dans ce que je te dis.

   J'abandonne l'idée d'aller plus loin et d'echanger ces vrais mots dont je te parlais, et puis ça t'arrenge. J'abandonne l'idée d'être con à chaque conversation. J'abandonne l'idée de m'enfoncer. J'abandonne l'idée de vouloir. J'abandonne l'idée de t'aimer et de recevoir quelque chose en retour. J'abandonne l'idée de recevoir et aussi celle de donner. J'abandonnerais presque l'idée de parler si je n'avais pas ce foutu espoir de peut être decrocher quelque chose. Une petite lueur qui m'agace l'oeil et l'esprit et qui m'empeche de tout claquer

20 mars 2007

j'ai envie d'ecrire

Aujourd'hui je prend un cap dans ma maigre vie de blogueur... Aujourd'hui je decide d'ecrire pour de vrai... De partager, d'émouvoir, de parler, de tout et de rien.

J'ai envie d'écrire sur ce que je vis, j'ai envie d'ecrire pour ecrire, mais aussi envie d'ecrire quelque chose. J'ai envie d'ecrire ma vie et d'ecrire toutes sortes de chose. J'ai envie d'ecrire en ne cachant rien, j'ai envie d'ecrire en ne gachant rien. J'ai envie d'ecrire pour que vous puissiez me lire et comprendre. J'ai envie d'ecrire sans spécialement faire de l'art. J'ai envie d'ecrire sur tout et rien. J'ai simplement envie d'ecrire.

Aujourd'hui j'ai decidé de livrer sur ces pages une partie de moi même qui ne s'affiche jamais. J'ai envie d'ecrire ici l'homme qui se trouve derrière mon masque. J'ai envie d'ecrire l'oxymore amoureux, l'oxymore triste, l'oxymore joyeux, l'oxymore déprimé... Aujourd'hui j'ecris tout, tout ce que je suis en vrai mais qu'on ne voit jamais. Je m'ecris pour de vrai, pour dire ce dont je ne pourrais jamais parler. Je vais ecrire ma vie au fil de ces pages et vous allez pouvoir me lire en vrai, vraiment me decouvrir. Savoir qui se cache derrière le masque que je me suis forgé.

Pari audacieux si il en est, car il est des choses qui ne devraient jamais êtres dites, mais ça me fait du bien de les prononcer. Aujourd'hui j'ai envie d'ecrire...

16 mars 2007

ton visage


L'espace d'un instant, tu as enlevé ton masque. L'espace d'un instant tu t'es découverte, et moi je t'ai découverte. L'espace d'un instant tu m'a regardé pour de vrai. L'espace d'un instant j'ai vu ton visage...

Tu m'as d'abord regardé, avec tes yeux marqués. Tu avais le regard triste, mais illuminé. Tu as posé sur moi un regard étrange, tes yeux m'ont m'ont interdit de les croiser, tes yeux m'ont interdit de t'approcher, comme si tu voulais me laisser en dehors de ton Histoire. Puis, ils ont lâché quelques gouttes le long de tes joues. Elles ont d'abord formé une flaque au coin de ta lèvre qui a finit par céder sous le poids de tes émotions. Elles ont continué leur route et formé un ruisseau, puis une rivière, puis un torrent le long de ton visage délicat. Elles sont tombées, j'en ai rattrapé quelques unes, je t'ai bu... Tu me regardais toujours avec ton expression étrange... Vas t'en me disais-tu probablement, je veux être la seule à affronter ma Douleur. Tu étais peut être triste, en tout cas, ta figure était désolée. Tes lèvres délicatement ciselées retombaient, et ton sourire t'avais quittée. Machinalement je t'entendais rire, mais je savais bien que ce son que j'entendais n'était qu'un vague souvenir. Tes pommettes rougeoyantes s'étaient ternis, ta longue chevelure ne brillait plus... Tout ce que tu avais pu arborer de resplendissant reposait maintenant bien loin de toi, peut être là où tout regard était tourné.

Tu me regardas une dernière foi et dans un effort surhumain me souris. Mais ce n'était plus ce sourir d'avant, celui que j'aimais tant. La fleur était en train de mourir. Tu as reposé ton masque sur ton visage, frais, joyeux, souriant...

J'ai déposé mon regard sur les contours fades de ta parure, et j'ai caressé ta carapace... Puis j'ai tendu ma main et j'ai essayer d'attraper la tienne et avant même que je n'ai pu l'effleurer, elle s'evaporait. Tu t'es envolée loin de moi, vers d'autres horizons qui te seront sûrement meilleurs...

Je me suis assis sur le bitume, triste et rugueux. J'ai revu ton visage et j'ai remis mon masque...

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13 mars 2007

à un Charabia

je ne sais pas si ce "poème" merite sa place ici mais bon... je le met quand même: enjoy ^^

Le Mal enjendre les mots

Et les maux de deux males

n'ont rien à voir avec le méli melo

le charabia incomprehensible, etrange animal

"Mon mal vient de plus loin"

Par delà les frontières du comprehensible, dans un royaume lointain...

Je ne sais si il faut ecrire pour comprendre

ou bien se taire et attendre...

Je ne sais pas si j'ai envie de partager

ce qui nous a tout deux éloigné

Mais mon mal de tête ne viens pas de toi

toi vague pensée, étrange idée, méli mélo de mots enlacés autours de moi

J'aimerais t'épargner ces souffrances, ces questions,

residus des états d'âme d'un mec un peu con...

J'aimerais tout déchirer, tout envoyer valser

Effacer les maux ecrits sur les lignes de mon cahier

9 mars 2007

Petit réçit fantastique...

C’était une nuit de pleine lune, une belle nuit. J’ai senti son appel, il m’appelait à lui. Je n’étais pas le seul affecté par cet appel, mais je l’étais différemment. Dans mon village, tout le monde était affecté par cette force étrange. La plupart avaient entamé une lente mutation, perdant peu à peu leur humanité, se transformant en bêtes, ou plutôt en choses, car à vrai dire, il n’avait plus rien d’humain ou d’animal. Tantôt un bras hypertrophié, tantôt une bicéphalité prononcée ou alors, dans le meilleur des cas, un corps recouvert de pustule, ou d’une peau plus dur, râpeuse, écailleuse, ou visqueuse. Mais moi je n’avais rien, et il ne semblaient pas le voir, j ‘était comme étranger à ce théâtre d’abomination. Il ne me voyaient pas, ne me sentaient pas, je ne les reconnaissait plus. Moi qui avait autrefois appartenu à la même famille que certains d’entre eux et côtoyer une partie des autres, je me retrouvais aujourd’hui seul au milieu de cette attroupement de monstruosité.
J’ai donc pris mes bagages et je me suis enfui, j’ai fui toutes ces horreurs pour en trouver la source, ou du moins ce que je croyais en être la source, la chose qui m’appelait. Dans les premiers jours ce ne furent qu’une impression de malaise, je sentais derrière moi quelque chose de maléfique, d’oppressant, qui me poursuivait. J’ai fui cette impression pendant plusieurs jours, marchant à son opposé, lui tournant le dos. Des fois je courrais afin de créer une distance entre cette impressions et moi. Mais elle continuait à me traquer, ou plutôt à me pousser, car en croyant fuir un mal pervers, j’était précipité vers un mal plus fort, plus dur… Au bout de neuf jours, la sensation de malaise m’avait enfin quitté et je marchais librement.
La proie était devenue chasseur. Moi qui avait fui cette menace invisible était maintenant en train de la traqué. Elle avait disparue trop subitement et n’avais pas laisser de traces, me laissant à nouveau seul et perdu au milieu des landes desséchés qui bordaient les rivières de l’oublie, l’endroit le plus lugubre de la région, mais je pouvait encore sentir une infime partie de sa puissance, loin, très loin. Je concentrais mes forces et fermai les yeux, délaissant mon corps pour laisser chercher mon esprit. Je la sentait bouger à des kilomètres, au nord. Je repris mes bagages avant de repartir. Presque trois lunes… trois lunes sans aucune trace de cette chose, et pourtant je savais que j’approchais, je le voyais à la forme du paysage. Petit à petit, il changeait pour devenir moins réel, les pierres devenaient liquides, les montagnes pleuraient des rivières rouges et les arbres crachaient des vapeurs de sang.
Tout autour de moi n’était que désolation et tristesse. J’évoluais dans le tableau d’un peintre fou. Tout ma conception de l’univers s’en trouva bouleversée. Les fondement de la réalité que j’avais connue s’effondrait pour laisser place à une réalité nouvelle, plus abstraite. Tout mes repaires avaient disparus. Le temps semblait ne plus s’écouler, les formes, les couleurs étaient nouvelles, je ne pouvais plus m’accrocher à aucun souvenir visuelle pour me repérer dans cette espace onirique. Je fermais les yeux, encore une fois pour me concentrer sur mes autres sens et élucider ce mystère physique, retrouver un semblant d’orientation, et trouver cette chose que je cherchais.
Mon odorat fût le premier à être perturbé. Dans ce lieu étrange se mélangeaient toutes les odeurs que je connaissais, des plus exquises au plus répugnantes. Le doux parfum du printemps et de l’amour se mélangeait avec la fragence de la mort et de l’hiver. Mon nez se sentait malalaise, il perdait lui aussi ses repaires. Ce maelstorm d’odeur qui s’infiltrait dans mes narines fût la cause d’un débousolement générale de mon odorat… il ne m’était plus utile.
Je pris alors soin d’écouter tous ce qui m’entourait jusqu’à m’en rendre sourd. Les plus belles mélodies se jouaient en même temps que les sons les plus discordants. Les violons interprétaient des aires vertigineux avant d’être scié dans un vacarme infernale. Des voies sublime régalaient mes oreilles avant d’êtres remplacés par des cris stridents. La cacophonie ambiante eu tôt fait de me rendre sourd, me laissant handicapé de deux de mes cinq sens.
Je pris alors le risque d’en recourir à mon esprit. Rentrant dans une sorte de transe, je pût lire dans les mailles de la toile qui composait ce lieu, cherchant un indice pour comprendre où j’était. Je vis des vents déchaînés s’engouffrer dans des réseaux de couloirs invisibles faisant tout le tour de l’univers, je vis des rivières agités s’écouler dans des ravins immenses avant de s’enfoncer au plus profond de la terre… et je vis une fissure, un trou béant dans le tissu de l’univers, ou s’écoulait l’essence même du chaos. Je le vis près de moi, et je vis ce chaos ronger le manteau de la réalité, altérant le paysage et les hommes, détruisant tout sur son passage. Je venais de comprendre d’où venait tous ces changement, toutes ces mutations.
Puis, je sentis le chaos m’envelopper sous son grand voile d’ébène, je le sentis me caresser, puis je sentit la douleur, intense, je m’étirais, les molécules qui me constituaient se séparèrent, je disparus dans une explosions de lumière et de ténèbres. Puis, les poussières que j’étaient devenu se rapprochèrent et commencèrent à s’agiter frénétiquement… Elles approchèrent de la fissure et la recouvrir du manteau opaque qu’elle venaient de former.
Doucement, la réalité repris ses droits chassant les dernier morceaux de chaos qui restaient accroché à son manteau. Tout redevint normal.
Deux heures plus tard, le soleil se couchait…

9 mars 2007

Le soleil se lève et je me couche... Je n'ai pas

Le soleil se lève et je me couche... Je n'ai pas dormis, trop occupé à penser, trop absorbé dans mes reflexions. La grande aiguille de l'horloge de la réalité n'a céssée de tourner, le temps n'a cesser de s'ecouler, et j'en ai bu chaque seconde sans m'en rendre compte. Mais à l'interieur de moi, le temps ne passe pas, je ne vielli pas, l'aiguille est brisée, le sablier est bouché! La notion même de temps n'existe plus. Et pourtant je vis, je vis dans le monde de mes pensées, un monde interieur où je suis le seul à exister.

Coucher dans mon lit, les yeux ouvert mais ne voyant rien, j'existe pour de vrai.

Le soleil se lève et je suis mort encore une foi. Je me suis noyé dans le torrent des mes passions au moment ou ma jouissance allait atteindre son apogé. J'ai chuté dans le vaste océan de l'oubli, il m'a engloutit, et pendant qu'il m'avalait je regardais cette lumière, cette lanterne, la clé de mon bonheur, le phare de mon plaisir. J'ai tendu le bras, mais il était trop tard et il était trop court, je n'ai pas pu l'attraper.

Je ne me rappel plus sa forme, ni sa couleur. Je ne me rappel plus du plaisir de cet instant, à quoi ressemblait il? Je ne sais plus, je ne sais plus rien... Ais-je réelement vécu?

4 mars 2007

Le poète de quatre sous

Il marchait sur les pages de son cahier à la recherche d'un mot. Il sautait sur les touches de son clavier pour écrire ses maux. Lui on pouvait dire qu'il savait écrire, qu'il avait une  belle plume. Au fur et à mesure des ses lignes il s'est inventé... Lui qui autrefois n'était qu'un idée passagère, un simple bonhome de papier, il est aujourd'hui devant moi. Il parle au monde, aux autres, il partage ses experiences. Il se confie aux Hommes, il dévoile ses secret. Lui, tout le monde l'aime, tout le monde le trouve étrange, tout le monde à envie de lui parler. Il intrigue, il plait, il amuse. Au fur et à mesure de ses mots il se construit et se decouvre, alors il continue...

Il est née il y a plusieurs mois, suite à un méli mélo de mots, un charabia incomprehensible, ce même charabia qui quelques temps plus tard le lachait et l'envoyait balader, le jetait à la poubelle comme un vulgaire embalage de papier... Sur le coup il est mort... Puis il a ressucité, comme par miracle, c'est la qu'a commencer le periple des mots, afin de le sauvé du malheur des maux...

Alors il parle... Moi je le regarde faire... En même temps je suis jaloux, lui il leur parle et moi non, je n'arrive pas à captiver, je suis surement trop bannale... Ma plume bat de l'aile... Je le laisse alors suivre son chemin à ce petit poète de quatre sous

4 mars 2007

"Melo-Drame"

Ce morceau fût composé il y a un petit moment déjà... Une première tentative de taping. Il m'a plu au début mais maintenant je l'apprecie moins... Je l'ai ressorti aujourd'hui car je trouve qu'il retranscrit bien l'état dans lequel je me trouve Je vous laise juger http://video.google.fr/videoplay?docid=6028807413846365274

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